LA TRUITE

Classe : Poissons

Ordre : Salmoniformes

Famille : Salmonidé

Genre et Espéce : Salmo

(Salmo trutta)


Description :

Le terme de truite évoque immanquablement l’image d’un bon repas ou d’une partie de pêche. Effectivement, ce poisson est l’un des plus connus et représente un pôle économique important.
La truite, comme le saumon ou le brochet, fait partie de l’ordre des Salmoniformes. Ce sont des poissons à chair grasse et savoureuse très prisés des consommateurs.
La truite a la capacité d’évoluer tant en eau douce qu’en eau salée. Elle partage cette aptitude avec le saumon dont elle est très proche. La truite de mer n'est en fait qu'une forme migratrice de la truite de rivière.

Les différentes espèces de truites:

La truite de mer (Salmo trutta trutta) qui est une migratrice:


Jadis répandue dans les mers du sud de l’Europe, la truite de mer est aujourd’hui
circonscrite aux mers Noires, Caspienne et d’Aral.

La Méditerranée est devenue trop chaude pour elle.
La truite de mer est argentée, ponctuée de noir sur les flancs et le dos.

On la connaît également sous le nom de truite saumonée ou truite argentée.
Cette truite a besoin d’une eau froide et oxygénée pour la reproduction.

Les alevins passent environ un an en eau douce avant de rejoindre la mer
où ils y resteront pendant 5 ans.

Elle retournera ensuite dans sa rivière natale, qu’elle remonte, pour à son tour se reproduire.
Les plus gros spécimens peuvent atteindre une taille de 90 cm et un poids de 10 kg.
Mais, en moyenne, cette truite mesure 30 à 70 centimètres pour 500 grammes à 5 kilos.
En mer, elle se tient près des embouchures et remonte les fleuves généralement
plus haut que le saumon.
Comme lui, elle se nourrit de crustacés et de petits poissons.



La truite de lac ( Salmo trutta lacustris ), Arc en ciel, qui remonte les affluents pour y frayer...


Cette truite est originaire de la côte Pacifique, du nord de l’Asie au Sud de la Californie.
Elle a été massivement implantée sur tous les continents.

Peu sensible à la pollution, elle s’adapte à des eaux supérieures à 20°C.
Elle est très vorace et grossit assez vite pour être rapidement consommable.

Elle a généré des races sédentaires satisfaisantes sur le plan de l’élevage.
C’est cette truite que l’on trouve à l’étal de notre poissonnier.

Elle doit son nom à la bande colorée, allant du bleu au rose-pourpre, qui orne ses flancs.
A l’état sauvage, selon l’endroit où elle vit, elle est migratrice ou sédentaire.

Quand elle vit près de la côte, elle passe une grande partie de son existence
en mer et remonte les cours des fleuves pour frayer, de novembre à mars.

Elle dépose ses œufs sur un lit de graviers près de la source des rivières.
Lors de la remontée des cours d’eau, cette truite cesse de se nourrir.

Elle est alors victime d’artériosclérose, comme son cousin, le saumon du Pacifique.
Mais contrairement à ce dernier, la truite arc-en-ciel n’en meure pas.
En effet, dès qu’elle retourne en mer, après le frai, elle guérit de cette maladie
caractérisée par un durcissement des artères.

On a introduit cette truite en Europe dès 1880.
Les poissons proviennent des Etats-Unis ou du Canada,
mais il est rare qu’ils se reproduisent en Europe.
Au centre d’aquaculture de Roscoff, en Bretagne, elle est habituée à l’eau de mer
et croit plus vite que celle que l’on élève en eau douce.

Plus robuste que la truite de rivière, elle grandit vite.
En deux étés, elle pèse 200 grammes et mesure 25 cm.

Elle atteindra 70 cm de long à l’âge adulte.
D’importantes populations de truites arc-en-ciel sont lâchées en rivière
peu avant l’ouverture de la pêche.


La truite de rivière (Salmo trutta fario) généralement sédentaire:


La truite commune est le poisson roi de nos rivières.
On la reconnaît facilement à son corps élancé
et ses flancs constellés de points noirs et rouges.

Elle aime les eaux froides, agitées et bien oxygénées.
Elle accepte cependant les eaux plus calmes à condition
qu’elles ne soient pas trop polluées et que leur température n’excède pas 18°C.

Poisson carnassier, la truite a un régime alimentaire très varié :
vers, mollusques, insectes, larves, crustacés et petits poissons.

A la belle saison, la truite se poste près de la surface
pour attendre les éphémères qui dérivent au fil du courant.

Elle guette également celles qui, fraîchement écloses,
s’apprêtent à quitter par milliers le milieu aquatique.

Pour surprendre les vairons, elle s’embusque entre deux eaux,
à des postes de chasse précis, situés tout près de son repaire.

En règle générale, la plus grosse truite s’attribue le repaire le plus sûr
et le poste le plus favorable.
Le meilleur habitat pour cette truite est une rivière qui propose de nombreux herbiers
afin qu’elle y trouve refuge.

Le meilleur repaire ou poste se situe dans les rivières
où les racines s’enchevêtrent et où de gros blocs de pierre dérivent le courant.

Territoriale, elle est souvent prête à défendre son domaine.
A l’approche de l’hiver, les truites remontent les rivières, parfois sur plusieurs kilomètres.

Ayant trouvé l’endroit favorable pour déposer leurs œufs,
elles creusent les graviers en agitant leur nageoire caudale.

Pendant ce temps, les mâles veillent, agressifs,
prêts à se précipiter sur tout ce qui peut représenter un danger.

Le mâle fertilise les œufs au fur et à mesure que les femelles les pondent.
Après la fécondation, la ponte est recouverte de graviers, puis abandonnée.

Un an plus tard, les truitelles mesurent 12 cm.
Adulte, elle mesurera jusqu’à 80 cm pour un poids qui peut atteindre 8 kg.

La moyenne cependant se situe à environ 500 grammes.
La pêche, la pollution et les prédateurs font que,
 sur une ponte de 800 œufs, un seul couple de truites adultes subsistera trois ans plus tard.


En automne, suite aux fréquents changements climatiques,
la truite arc-en-ciel change de poste mais demeure toujours très active !


Malgré les mauvaises conditions météo, pluie, vent…
qui caractérisent la période automnale, les réservoirs
et les plans d’eau peuplés de truites arc-en-ciel, connaissent un regain d’activité.

En effet, ces salmonidés retrouvent des conditions de vie
beaucoup plus favorables à leur espèces que durant la belle saison :
la température de l’eau plus fraîche,
le taux d’oxygène dissous plus élevé dû au brassage des couches supérieures grâce au vent…


Les bons postes

Plus la saison avance, plus l’arc-en-ciel se dirige vers les zones profondes. La température de l’eau y est clémente et de plus, c’est au fond qu’à cette époque de l’année elle trouve sa nourriture.
Il s’agit principalement des larves de chironomidés et autres insectes qui passent l’hiver enfuis dans la vase ou la végétation aquatique. Carnassière, elle se nourrit également d’alvins.
En ces lieux les postes marqués étant rares, il vous faut prospecter méticuleusement, par des passages successifs, les couches d’eau proche du fond.

Si vous pratiquez en réservoir, la pêche à la mouche avec une soie plongeante s’impose.
Les imitations de ver de vase ainsi que les streamers s’avèrent les plus prenants.
En plan d’eau, vous pouvez pratiquer la bombette en utilisant les appâts naturels
ou la pâte pour escher l’hameçon ou pêcher au lancer avec des leurres classiques,
cuiller, poisson nageur…


En Juin, les éclosions se multiplient
et la truite passe le plus clair de son temps
dans les courants à gober des insectes !




Pour la truite, le mois de Juin est indiscutablement une des périodes
les plus favorables de l’année.


Après les pluies printanières et la fonte des neiges,
le niveau et la température de l’eau se sont finalement stabilisés
et surtout c’est un des rares moments pour elle où la nourriture abonde.

Car la majorité des insectes qui selon les espèces ont passé
de quelques mois à quelques années au fond des rivières,
remontent en grand nombre à la surface pour éclore.

La truite profite de cette manne providentielle
et s’en nourrit à tous les stades de leur évolution,
nymphale, émergeant, insecte adulte et mort.


Les bons postes


Cette abondance inhabituelle de nourriture dans son élément,
fait perdre à la truite un peu de sa légendaire méfiance.

Elle quitte de plus en plus ses postes d’affût et s’aventure volontiers dans les courants.

Il n’est pas rare de la voir en pleine activité même au milieu de la journée.
Elle s’installe dans les rétrécissements, les fins de radiers,
 les remous et partout où les courants regroupent la plus grande densité de nourriture.



Les Techniques de pêches...

 LA PÊCHE À LA MOUCHE

DESCRIPTIF :
Existant depuis plusieurs centaines d'années,
c'est en Angleterre que la pêche à la mouche s'est démocratisée à la fin du siècle dernier.
Depuis, la technologie a permis au matériel d'évoluer mais la technique est toujours la même.

Il faut arriver à leurrer des poissons avec des plumes et des poils fixés à un hameçon,
l'ensemble devant ressembler à une larve (nymphe, noyée),
à un insecte parfait (mouche sèche) ou à un alevin (streamer).

Chaque type de pêche porte le nom du leurre employé (pêche au streamer, pêche en noyée...).
Au début de la pêche à la mouche, les cannes étaient fabriquées en bois vert,
puis en bambou refendu utilisé jusque dans l'année soixante.

Ensuite l'utilisation de la fibre de verre à été supplantée par le carbone (plus léger)
ou maintenant le titane.
Une canne à mouche se mesure en pied (mesure anglaise : 1 pied = 30,48 cm)
C'est en fouettant à l'aide d'une soie (plus lourde qu'un simple nylon)
que l'on peut poser à distance une mouche très légère.

Dans les années cinquante les soies étaient fabriquées
à partir de fils de vers à soie tressés et graissés ou non ce qui leur permettaient
de flotter plus ou moins. Actuellement, elles sont construites en matière synthétique.

C'est la quantité d'air emprisonné à l'intérieur de la soie
qui les fait flotter ou plonger.
Pour les amateurs de pêche en sèche la meilleure période correspond
au moment des éclosions d'insectes du printemps à la fin de l'automne.

Pour les pêcheurs en quête de gros poissons,
des parcours de pêche en rivière ou en réservoir,
naturels ou non, ont été aménagés pour pratiquer ce sport toute l'année.


DIFFÉRENTES TECHNIQUES :



1.La mouche sèche ou nymphe en rivière


Il faut poser sur l'eau une imitation d'insecte flottant (sèche)
ou d'une larve plongeante (nymphe) près d'un poisson en train de se nourrir,
le plus discrètement possible.

Pour cela, il vous faut une canne d'environ 9 pieds, équipée d'un moulinet manuel
ou semi-automatique et d'une soie n° 4 ou n° 5 flottante.

Utilisez un bas de ligne long (environ 4 m) avec un départ en 45/100 et une pointe en 12 ou 14/100.
C'est le courant de la rivière qui amène votre mouche naturellement vers le poisson.
 Dès qu'il s'en saisi, ferrez aussitôt d'un petit coup sec du poignet tout en relevant la canne.


2.La pêche en noyée


Utilisez le même matériel que pour la sèche, seul le bas de ligne est plus court (environ 3 m),
plus gros de pointe 16 ou 18/100 et surtout équipé d'un train de 3 mouches différentes.

La première flotte, très fournie et généralement claire, elle s'appelle "sauteuse".
Derrière on fixera la première noyée peu fournie qui imite une mouche émergeante,
et en bout de ligne on fixe une noyée un peu plombée qui imite une larve.

Posez votre train de mouches en aval de vous,
en direction de la berge opposée et laissez le courant animer vos mouches.

Maintenez la soie tendue pour garder le contact,
ferrez à la moindre attaque en relevant simplement la canne.




3.La pêche aux streamers


Pour cette technique nous n'utilisons plus d'imitations d'insectes
mais des imitations de petits poissons car nous nous intéressons
 à des poissons carnassiers (truite, brochet, black-bass, requins...).

Pour la pêche des truites ou des petits poissons en mer,
la canne doit faire environ 9,6 ou 10 pieds avec un moulinet suffisamment gros
pour contenir 100 m de backing en 20 lbs, d'une soie n°6 ou 7 flottante,
plongeante ou intermédiaire, et d'un bas de ligne de 3 m
commençant en 50/100 avec une pointe en 18 ou 20/100.

Pour la pêche du brochet, la canne doit être plus puissante pour permettre
d'envoyer un gros streamer à une vingtaine de mètres.

D'environ 9 pieds, elle est équipée d'un moulinet pouvant contenir 100 m de backing en 30 lbs
 et une soie n° 8 ou 9 flottante prolongée d'un bas de ligne court (environ 2 m),
fini par un avançon en acier pour résister aux nombreuses dents des brochets.

Pour la pêche des gros poissons de mer, la canne doit être très puissante,
d'une longueur de 8 pieds. Elle doit recevoir un moulinet de grosse contenance,
équipé d'une soie flottante n° 15 et de 300 m de backing en 80 lbs.

Choisissez un bas de ligne court, environ 2 m, avec une pointe en nylon de 120/100 ou en acier.


4.La pêche du saumon


Il existe deux types de cannes pour pêcher ce formidable combattant qu'est le saumon.

Les Américains utilisent des cannes à mouche traditionnelles de 9 pieds avec une soie n°9 flottante, plongeante ou intermédiaire.
La technique est d'autant plus fatigante qu'ils pêchent avec des cannes courtes.

 Les Anglais, maîtres incontestés de la pêche du saumon à la mouche,
utilisent des cannes beaucoup plus grandes de 15 pieds et plus,
équipées de soies n°10 ou n°11 flottante,
plongeante ou intermédiaire qui permettent de lancer loin à deux mains
en une seule fois et beaucoup plus facilement (avec un peu d'entraînement !).


Pour toutes ces techniques,
il existe 3 types d'actions de canne :



- parabolique : très souple.

- de pointe : elle ne travaille que du scion.

- progressive : c'est une action intermédiaire ( dite aussi "semi-parabolique" ).

Le choix du type d'action dépend surtout de l'habitude du pêcheur.
Une action de pointe lancera plus facilement qu'une action parabolique
 mais sera moins tolérante lors des ferrages un peu appuyés
 (principal défaut des pêcheurs non confirmés).

Le poids de la soie à utiliser avec votre canne se défini par un numéro de 1 à 15.
Il est noté sur la canne précédé du sigle #.

Exemple, une canne de 8'5#4 est une canne de 2,55 m (8,5 pieds) supportant une soie N°4.
Il est donc conseillé de respecter le numéro de soie préconisé pour éviter de contrarier son action.
Le moulinet sert surtout à stocker la soie et le backing.

Le backing est une tresse qui vient s'enrouler au fond du moulinet
avant la soie et qui agit comme réserve de sécurité notamment
 lors d'un combat avec un beau poisson.

Qu'il soit manuel avec manivelle (le plus employé)
ou automatique avec récupération par mécanisme à ressort (souvent trop lourds),
choisissez un moulinet avec une grosse bobine assez large équipée d'un frein puissant.

Plus le moyeu est gros plus vous récupérez rapidement votre soie à chaque tour de manivelle.
Veillez à ce que le moulinet équilibre bien votre canne
et qu'il soit en rapport avec les poissons recherchés.

Pour garnir votre moulinet, une soie se choisit selon trois critères :


le profil
WF = fuseau décalé, le poids de la soie est décentré et se rapproche de la pointe
où l'on attache le bas de ligne.
C'est la soie idéale pour pêcher loin, en lac ou en mer, elle mesure en générale 32 m.

DT = fuseau parfaitement symétrique avec une pointe à chaque extrémité.
C'est une soie qui s'utilise plutôt en petite rivière avec l'avantage de pouvoir se retourner quand la première pointe est usée, elle mesure en générale 27m.

le type flottante(F), intermédiaire(I) ou plongeante(S)
à adapter selon les techniques expliquées précédemment.

Les soies plongeantes sont graduées en chiffre romain,
plus le chiffre est élevé (maxi=VIII) plus la soie plonge rapidement
(ex : WF7SI = une soie fuseau décalé n°7 peu plongeante)


le numéro

Les soies sont numérotées de 1 à 15 et à chaque chiffre correspond un poids.
Il est calculé sur les premiers mètres de la soie qu'elle soit flottante ou plongeante, DT ou WF.
Plus le chiffre est élevé plus la soie est lourde (ex : une N°5 est idéale pour la truite en rivière,
une N°10 est parfaite pour le saumon).

Le bas de ligne, raccord indispensable entre la soie et la mouche,
est toujours en nylon mono-filament ou tressé.

Il est de forme conique, la partie la plus grosse est fixée à la soie
et la partie la plus fine (pointe) connecte la mouche.

Il peut faire moins de deux mètres pour pêcher en lac
et mesurer plus de cinq mètres pour des pêches difficiles en rivière.

La pointe est la partie la plus importante du bas de ligne.
Fine pour gagner en discrétion elle est aussi plus fragile.
Il ne faut donc pas hésiter à la changer régulièrement quand elle est abîmée.

La qualité des nylons actuels permet de pêcher de plus en plus fin,
certains champions arrivent à prendre des poissons de plusieurs kilos avec du 8 ou 10/100 !

La dernière nouveauté est le fluorocarbone.
C'est une évolution technique du nylon qui a l'avantage
 d'être réellement invisible pour les poissons.

Les différentes techniques sont surtout liées aux poissons
et aux lieux où vous allez pêcher.
Sachant qu'avec une mouche vous pouvez leurrer
aussi bien une ablette qu'un marlin !
Vous comprendrez que le matériel est différent,
mais que la technique elle, reste sensiblement la même.

MATÉRIEL TYPE

CANNES CARBONE :

 Les cannes courtes de 6' à 8 pieds s'utilisent plutôt en petite rivière.

Les cannes de 9' à 10 pieds sont les plus employées en grande rivière, en lac ou en mer.

Les très grandes cannes de 13' 'à 18 pieds servent pour la pêche du saumon.


MOULINET

 Moulinet graphite ou métal,
manuel ou automatique à large bobine équipé d'un frein puissant.


LA SOIE :

· DT4 ou 5 pour la rivière.

WF 5 pour la pêche en réservoir ou grande rivière.

WF 7 à 9 pour la pêche longue distance au streamer en lac.

DT 9 à 11 pour le saumon.

WF de 9 à 15 pour la mer.

Le backing en tresse de 12 lbs si vous pêchez en rivière jusqu'à 80 lbs
si vous recherchez un tarpon ou un marlin en mer.

Le bas de ligne nylon prêt à pêcher en rivière,
pointe en 14 ou 16/100, en lac,
pointe en 18 ou 20/100.

Pour le brochet et le saumon, pointe en 30/100 ou 35/100.


LES MOUCHES SECHES

De mars à mai, EPHEMERE (imitation d'insecte adulte appelé "petite bête")
sur hameçon 12 à 16.

De mai à juin, PHRYGANE (imitation d'insecte adulte du ver d'eau)
sur hameçon 12 à 18, idéale pour "le coup du soir".

De juillet à septembre, imitation de fourmis
et micro-mouches présentent lors des grosses chaleurs, sur hameçon de 16 à 20.



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